Le renouveau
personne ne sait pourquoi la grande civilisation des Astraïdes à sombrer mais les historiens postulent que sont influence s’étendait sur toutes les contrées que nous connaissons aujourd’hui.
Ce qui est sûr, c’est que notre histoire découle de la disparition de ce peuple. Nous sommes, à n’en pas douter, les héritiers d’une grande civilisation de sorciers conquérants qui ne surent pas respecter les dieux. Ils ont étés punis pour leurs orgueil et il est sage d’en tirer une leçon.
Les plus éminents penseurs de nos royaumes ont tous situé le cœur de cette civilisation dans la mer de la déchirure. Ils appuient leurs opinion sur les vestiges ensorceler que l’ont trouvent souvent sur les littoraux de cette mer étrange ou dans les îles du Kadonshir. Les mythes du Kadonshir parle d’une brusque monté des eaux qui noya les impurs. Le peuple Astraïdes aurait été engloutie en une nuit.
Suite au cataclysme Le dieux donnèrent une seconde chance aux hommans mais le chemin dû être rude pour les générations qui nous précédèrent. Les survivants, qui furent nos ancêtres, perdirent beaucoup de connaissances et durent lutter pour leur survie. Ils oublièrent jusqu’à la connaissance de leurs origines et de leurs coutumes.
Ceux qui vivaient les plus proches du cataclysme s’établirent sur les pitons rocheux de la nouvelle côte et se fortifièrent. Ils prirent plus clairement conscience de leur déchéance que les autres peuples. Ils firent donc de leur mieux pour effacer les restes de leur ancienne culture et ils la méprisèrent. Ces cités lacustres sont rapidement devenus ce qui forme aujourd’hui la nation plurielle des cités Aukshids. Leurs histoire est tellement lié à la notre que je peut sans remord les inclure dans nos chroniques ; j’y reviendrait donc avec le fil des époques.
Les groupes hommans les plus lointains du cataclysme ne furent pas aussi touché que ceux de l’Aukshid. Leurs cités ne durent pas êtres reconstruites et ne ils perdirent que peu de matériel. Leurs bibliothèques devinrent les seules traces de l’ancienne culture Astraïdes et c’est ainsi qu’ils prirent naturellement l’ascendant sur leurs voisins moins éduqués. Ce fût pour les deux plus grandes cités d’alors, Pasalt et Pyréa une période de richesse et de développement.
En une centaine de cykan, Pasalt devint plus qu’une ville : Tout les penseurs venaient s’y confronter et elle était considéré comme la capitale du monde connus d’alors. D’après les annales de la ville, la muraille de la cité aurait due être agrandie six fois durant cette période, mais son influence politique à l’époque, était trop importante pour que quiconque tente de la convoité. Fait plus intéressant encore, sa vive croissance la rendait ingouvernable et ses faubourgs se développèrent dans l’anarchie totale ( ce qui n’a pas vraiment changé… )
La cité de Pyréa, moins bien située sur les axes commerciaux que Pasalt, profita plus lentement et plus sereinement de cette nouvelle ère. Les principes féodaux qui se mettaient en place à l’époque, restèrent lettres mortes en Pyréa. La cité s’essaya à de nombreuses philosophies et gouvernements. Rapidement elle s’orienta vers un système de pouvoir parlementaire baptisé république par ses dirigeants. Si ce système nous apparaît maintenant comme utopique, il eut à cette époque un succès honorable. L’histoire nous apprendra part la suite ce que cela coûta aux Pyréans.
C’est aussi à cette époque qu’une nouvelle religion apparue. Mes prédécesseurs historiens ont chercher en vain la localisation des premières manifestation de ce culte. On sait juste, qu’il pris rapidement pied dans les banlieues pauvres de Pasalt et profita du chaos général qui y sévissait.
Cette secte adopta le nom d’Aragonite, en souvenir de la bataille mythologique d’Arag.
La secte Aragonite, devint puissante en peu de temps car elle attirait beaucoup de gens courageux. Cette religion prônait le retour à une vie proche de la nature et une préparation constante à la guerre contre les forces du Néhant. Elle promettait une solution à court terme au soucis des origines et du devenir en expliquant que les dieux voulaient que nous retournions à la nature pour être plus fort et moins soucieux de nos propres vies.
Fort de ces promesses de victoire sur le mal, de nombreuses croisades sans but réels se formèrent dans les régions connues et imposèrent leur culte par le chantage et la violence. Ne trouvant que peu d’ennemis démoniaques à combattre, le retour à la nature devint leur credo principal et elles décidèrent que la civilisation citadine était l’ennemi que les dieux leur avaient choisit.
La cité de Pasalt due s’organiser face à ce danger permanent et une milice puissante fut créée pour défendre la ville et ses intérêts. Un rempart incroyable pour l’époque fut crée autour de ses faubourgs ( celui là même que les Pasalts veulent détruire maintenant ) De leur côtés, les croisades Aragonites se transformèrent avec le temps en bandes barbares et en quelques cykans les pillages devirent de petites guerres d’usure contre les villes importante.
Pour les descendants des premiers croisé Aragonites, les dieux s’étaient fâché après les hommans qui ne respectaient pas leur volonté de retour aux source. Les Citadins, considéraient ces fanatiques comme des pillards retourné à la barbarie et coupé de la mansuétude des dieux. A Pasalt et Pyréa, cette religion fut interdite mais des variantes pro-citadines furent initiées.
Finalement, les cités continuèrent de prospérer ( plus lentement cependant ) et les Aragonites se calmèrent. Les clans aragonites finirent par devenir des peuples à part et certains furent perçus comme des étrangers dans leur propre pays. D’autres cherchèrent la paix et prirent de la distance avec le reste des régions connues d’alors, ce qui tombait justement bien puisque les glaciers du portant reculaient à cette époque et que de nouvelles terres vierges s’ouvraient aux hommans.
C’est donc à cette époque que les premiers hommans s’installèrent sur les côtes de Griseuse et un peu plus tard sur la future Norialent. Le monde semblait enfin prendre la forme que nous lui connaissons aujourd’hui et l’immensité des terres inhabité s’ouvrait pour le plus grands espoirs des réfugié Aragonites.
Avec la découvertes des nouvelles terres du portant, la politique extérieure de Pyréa changea. La république, à cause de la position excentré, avait toujours eut un temps de retard sur Pasalt. Mais maintenant que de nouvelles terres s’ouvraient sur ses frontières, elle espérait sortir de sa torpeur et prendre un nouvel essor. Rapidement ses anciens ennemis Aragonites devinrent des clients potentiels et les relations entre Pasalt et Pyrea s’en ressentirent. Les historiens supposent même qu’une guerre aurait eut lieu à court terme si les Pasalts n’avaient pas eût d’autres problèmes à résoudre à cette époque ( ce que nous verrons plus loin )
Les Aragonites de Griseuse et les Pyreans eurent à cette époque des échangent intenses. Avec les cykan, ces transactions changèrent plusieurs fois de type. Cette relation était instable car elle subissait les changements d’électorat en Pyréa et les prises de pouvoir claniques dans les terres Grises. Cette situation bancale mais profitable aurait pu durer longtemps mais de nouveaux bouleversement de l’autres coté des terres allait tout changer.
Pendant que les Pyreans s’ouvraient aux négociations commerciales avec les Aragonites de Griseuse, la cité de Pasalt connue des difficultés. Avec le recul du gracier, le climat de Pasalt avait changé en un été sec, lourd et constant. Les plantations en souffrirent et la famine guettait la région. Une solution rapide s’imposait : Les terres cultivables devaient êtres étendues.
Les Pasalts « motivèrent » les exodes Aragonites en s’octroyant leurs terres largement répandue dans la Rudess voisine, qui en vérité appartenait dans le passé à la cîté.
A la même période, les Aukshids en finissaient avec leurs nombreuses guerres internes. Elles leurs avaient jusqu'alors interdit toutes velléités d’expansions et la situation se stabilisait enfin. C’est à cette époque que les cités étaient devenues les Matriarcats que nous connaissons encore aujourd’hui. Leurs factions politiques étaient alors moins nombreuses mais plus agressives.
Dirigeant la plupart des cités importantes, la grande Coryluzz était la matriarche de seize familles influentes sur la côte. Sa grande connaissance des arcanes magiques n’était que la moindre de ses qualités et elle unifia les cités Aukshid vers un but commun : La conquête de terres qui se réveillaient indispensable à l ‘épanouissement des citées : La Rudess.
Les Pasalts et les Aukshids ont de nombreux textes sur l’époque de guerre qui découla de cette doubles conquête. Les dernières populations locales furent plusieurs fois pris entre les deux camps et leurs rares descendants ne font confiance ni au uns ni autres depuis cette époque.
La région subit à cette époques des séquelles qui affaiblirent les deux camps et quand ils parvenaient à une trêve, leurs troupes se vengeaient sur la population. Ce fût une période affreuse et traumatisante. personne n’en sortie vainqueur.
Vers la fin de la guerre de Rudess, alors qu’ils en tiraient de grand bénéfices, les Pyreans subirent une grave crise à leur tour. Leur république s’était transformé depuis longtemps en une sorte de noblesse élue : Amat était l’un de ces Roy Philosophes élus à vie et sa sagesse le poussait à apprécier les cultures étrangères. Cela lui coûte la vie lorsqu’il accueillit dans Pyréa les survivants Aragonites de Rudess. L’assassin ne fût jamais retrouvé et les historiens se questionnent encore à son sujet. Cet assassina fit sombrer lentement la république Pyreanne. Elle se replia sur elle même et se mit à haïr les Aragonites. Le monde changea brusquement.
Outre les rives du fleuve gris, les Aragonites de Griseuse formèrent une nouvelle civilisation qui bien qu’étant hostile au début à toutes implantation permanente, due se résoudre à une vie plus sédentaire sur cette terre pluvieuse. Leur groupes finirent pas s’étendre sur toute la région car leur culture était en pleine croissance. En huit générations, ils devinrent un peuple sédentaire et puissant : Les Griseux. Des lors, la culture Aragonite ne suffit plus et le pays entra dans une crise idéologique passagère.
La solution au problèmes des Griseux arriva avec la naissance du culte de Courtoisie qui ramena la paix et l’union. Cette religion est à lors actuelle encore entouré de mystères car seuls les prêtresse et les nobles du pays la maîtrisent complètement. Ils gardent les secrets qui leurs donnent tant de pouvoir. La Courtoisie à joué de nombreux rôles dans l’histoire et même dans la naissance de nouvelles religions telle que l’ordre. Les plus ancien textes mêlent cette religion au Saut-des-Dieux, un gigantesque piton rocheux qui cache la lumière de l’Ether et qu’il vaut mieux contourner largement quand on navigue sur la côte de Griseuse.
Alors que la Griseuse devenait une véritable nation aux yeux de ses voisins. Les Aragonites de Rudess la traversèrent pour s’éloigner encore plus loin au portant. Ils naviguerent sur la mer gelé qui baignait la côte extrême de la Griseuse et découvrirent à trois jours de bateau une côte gelé. Il est très amusant pour l’historien que je suis de lire les mises en gardes des sages de l’époque : Ils s’inquiétaient d’avoir trouver un nouveau monde dans ce pays que l’on nomme aujourd’hui Noralient.
Découlant de notre sang et de notre culture, la Norialent est partie intégrante de notre peuple et je me devrais donc de l’inclure dorénavant dans nos chroniques. J’invite ainsi le lecteur à prendre conscience que notre histoire locale ne peut exister sans de tels rapprochements.
Peu après la mort d’Amat en Pyréa, les derniers exilés de Rudess quittèrent la Griseuse pour la nouvelle terre par delà la mer que l’on baptisa la Faille. Pour eux, qui venaient de régions ensoleillées, cette terre glacé et brumeuse, à l’autre bout du monde était paisible mais étrange. Ils s’y installèrent tout de même car les aragonites détestaient la mer et nombres d’entre eux refuserent de faire demi-tour. ( leur mythologie sur la déchirure y fut pour beaucoup ) Cette terre offrait un autre avantage, son isolement leur permettait de bâtir une culture sans influence extérieures et ils s’y croyaient à l’abris des guerres. ( l’ironie du sort viendra du futur )
D’autres aragonites extrémistes cherchèrent des terres à eux seuls. Ils descendaient de clans Aragonites fortement influencer par les Nahins. Le peuple de la montagne les avait aider autrefois et je suppose qu’ils durent se dire que la faille devait les atteindre leur territoire. Ils remontèrent la mer de la faille vers les hautes montagnes et découvrirent que la grande Chaîne de Mühr était ouverte par une profonde et gigantesque vallée. Là, se déversaient les eaux riches des grands fleuves des versants inhospitaliers des territoires Nahïns. Ils établirent leur campement sur l’embouchure même des fleuves.
L’histoire du portant se fit plus calme durant des cykans et les peuples qui y vivaient, prospèrent calmement. La Griseuse se découpa en baronnies autonomes ; La Pyréa s’installa dans une seconde république lente et Pasalt resta fidèle à elle même en s’agrandissant. Les cités Aukshids, quand à elles s’estimaient vaincu par les Pasalts et malgré le gain de nombreuses terres, elles cherchèrent de nouvelles voies de développements. C’est de cette recherche que naquis l’idée de la reconquête de la mer de la déchirure. Il est dit qu’elle vint d’un pari stupide entre deux jeunes nobles de la cité de Vatimez et qu’elle fit grand émois dans tous les mondes connus.
Mais l’idée avait fait son chemin, lors de son vingtieme anniversaire, la haute matriarche de l’époque, Constanzia, petite fille de Coryluzz, prit cela très au sérieux et promis richesse et gloire à tous ceux qui reviendrait de plus de vingt jours droit vers le bravent. De nombreux nobles jurèrent sûr leur honneur d’y arriver et affrétèrent leurs navire les plus solides. Domio de Vatimez avait un avantage sur les autres, il était plus un érudit qu’un noble-sorcier. Il se prépara longuement et recruta une équipé peu ordinaire. Il finit par prendre la mer discrètement trois jours après tous les autres.
Apres vingt-et-un jours de navigation, alors qu’il aurait du faire demi-tour comme tous ses concurrents, Domio de Vatimez rencontra un navire étrange sur la mer agité. Le navire était en péril et l’équipage de domio leur vint en aide. Les marins étaient habillés étrangement mais de façon riche et le navire était d’un style inconnue. Quand la mer fut calme, les marins essayèrent d’expliquer leurs origines et leurs étranges coutumes. Leur dialecte étaient différents mais cousins du notre et Domio pu rapidement discuter avec eux. On dit qu’en ajustant les cartes, les étrangers du Kadonshir, Domio et son second se mirent à pleurer de bonheur. Ils avaient les deux moitiés d’une carte complète de la mer de la déchirure et la route vers un monde bien plus vaste.